J’adore …

… quand les gens à une soirée te parlent, se concentrent même sur la conversation avec toi et – du coup, le dessert arrive! Par la suite, au milieu de ta phrase, les têtes vont se tourner vers le buffet, puis se reconcentrer sur toi – car ce n’est pas poli, les gens se disent.

Ce jeu continuera pendant 5 jusqu’à (auprès des plus résistants) 10 minutes, puis: la bataille est perdue. Avec un sourire gêné, l’index se lève, la bouche s’ouvre, pour après t’interrompre dans ton discours sur ton philosophe préféré: „Euh …“, ton interlocuteur profèrera, „tu m’excuses pour un petit moment?“ De nouveau, le sourire gêné et un mouvement de la tête vers le buffet. Et avec un „je reviens tout de suite“, ils partent en direction du buffet.

Après, il ne te reste que de vider ton verre de champagne et – attendre. Mais une fois seduits par les plaisirs sucrés du dessert, ils vont rester collés à ce dernier et ne plus revenir. Que faire donc tout seul au milieu de la salle avec tous les autres penchés sur la table de dessert? Eh ben, suivre le mouvement général et arrêter de prétendre d’être plus civilisé que les autres.

L.

Mein Beitritt zum Hornissenschwarm …

… ist nun erfolgt – ich fahre mit meinem kleinen Roller durch Paris!

Und wie die Hornissen ergießen sich diese Zweiradfahrer durch die Straßen der Hauptstadt, sausen zwischen den Autos hindurch, über Bürgersteige, entgegen der Fahrtrichtung durch Einbahnstraßen.

Ich bin dabei noch eine Baby-Hornisse, traue mich nur zögerlich an den Autos vorbei, Bürgersteige sind eher tabu, Einbahnstraßen sowieso. Deswegen brauche ich auch fast so lange wie die Autos, die sich durch Paris drängeln. Aber – zum Glück kann man ja als Baby-Hornisse noch viel lernen …

L.